Le temps des foins…

Par : Denise

Juin 28

Catégorie: Campagne, Eté, Foins, Villes

18 Commentaires

Genève, juin 2016

 

 

 

… un peu partout, dans la campagne, il est l’heure des foins et une bonne odeur s’en dégage 🙂

 

♥♥♥

 

La moisson

Les épis sont mûrs pour la moisson
Voilà la fin de la saison.
Les épis sont mûrs lourds et courbés,
Voici le temps de les couper.

Les épis sous un soleil de plomb
Penchent vers le sol sans aplomb.
L’heure est venue de couper
Les épis et cueillir le blé.

Les épis sous le soleil tout ronds
Dorés et mûris vont au fond
D’un lourd panier à emporter
Au moulin et au grenier.

Et voilà la fin de la saison,
Petit épi, c’est la moisson.
Sous le soleil, des épis coupés
Luisent dessous la rosée.

Gilbert Czuly-Msczanowski

 

 

18 commentaires sur “Le temps des foins…”

  1. Coucou ma chère Denise, que j’aime l’odeur du foin frais coupé! Ta photo est magnifique et ce poème tout beau! Bise et bonne soirée toute douce!

  2. il suo profumo è inebriante! buon giorno Denise cara

  3. jE SENS COMME UNE BONNE ODEUR DE FOIN
    Autrefois c’étais la fête dans ces moments-là
    De grandes tablées
    Bonne journée

  4. C’est une odeur qui , lorsqu’on la croise, qu’on aimerait emporter avec soi 😀

  5. Odeur de foin brûlé par le soleil que je sens d’ici…. »petit épi, c’est la moisson »….. merci Denise…
    Beau et doux mardi.
    Je t’embrasse.
    Den

  6. ….Vite entre deux averses , faisons les foins et, au soleil tant attendu, l’herbe fleurie sèche en laissant échapper une odeur  » délicieuse  » ….c’est les vaches qui seront contentes l’hiver prochain !
    Bonne journée Denise , avec la journée ensoleillée , je vais profiter de me balader 😉
    Avec mes amitiés et bizz

  7. c’est vraiment l’ete avec les foins coupes !! souvenirs d’enfance ou nous aidions a mettre en bottes nous revenions grimpes sur les chariots et moi piquee de petites bestioles en tous genres !! c’etait ma jeunesse en vacances chez mes grands parents agriculteurs merci denise je ne pensais pas que cela m’evoquerait autant d’emotions juste a regarder ta photo !!t biss chris

  8. Dimanche soir, sur le chemin du retour, une petite pause, au bord d’un champ et l’odeur de l’herbe coupée…

  9. Bonjour Denise, pour moi c’est l’odeur aussi de ces champs coupés qui m’attirent. Joli champs que le tien. Gros bisous et superbe journée. Tiens toi à l’ombre.

  10. tolles Bild wieder, schönen Tag wünsche ich dir

  11. Le simple parfum des foins coupés, et aussi de l’herbe … on se sent vivre !
    Merci, dear Denise, pour ta belle idée et ta photo qui donne envie de s’évader … amitiés – et bisous – france

  12. J’aime énormément cette période… le jour, la nuit la fenêtre ouverte, un pur Bonheur !…
    Merci ma chère Denise pour ces effluves 😉 ❤ ❤ chez moi ça démarre timidement, le temps est trop incertain 😦

  13. Mmmmm, l’odeur du foin coupé arrive jusqu’ici, splendide!
    Bonne journée Denise, un beso.

  14. Cela me rappelle tant de souvenirs. J’ai fait le foin jusqu’à la naissance de notre fils. Mes racines paysannes puisent dans les souvenirs olfactifs et dans bien d’autres souvenirs qui y sont rattachés.
    Je t’embrasse chère Denise.

  15. Une moisson difficile cette année, avec un temps incertain, beaucoup de soucis et toujours aussi un peu de casse, c’est un moment de stress chez nous, tous les ans et beaucoup de travail (surtout en ce qui concerne les petite bottes car il faut des bras et du temps, et rentrer le foin avant la pluie…), chevaux et ânes en auront besoin l’hiver prochain…

  16. Merci à vous toutes et tous de vos très jolis messages. Les foins me rappellent aussi de bons souvenirs d’enfance. En vacances pendant plusieurs étés dans une famille, j’allais avec, les enfants de la famille, réunir des tas de foin bien sec avec un grand râteau. On s’amusait bien. Ensuite, les garçons et leur père mettaient le foin dans de grands carrés en jute, je crois, qu’ils portaient sur la tête pour ensuite y déposer dans la grange. Dans un autre endroit, je suis aussi montée sur la remorque du tracteur en haut sur le foin. On riait bien. A cette période, l’herbe était fauchée avec une faux 🙂

  17. Aaaaaaaaaaaaaatchoum ! 🙂


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