Plus de cent ans

Par : Denise

Juil 17

Catégorie: Arbres

15 Commentaires

Genève, Campagne de Cartigny, juillet 2013

 

En descendant le chemin pour aller à l’étang Robert Hainard, se trouve ce très beau marronnier de plus de cent ans.

 

Lien:

Moulin de Vert – Balades en images près de Genève

 

 

Le vieux marronnier

N’aime

Ni les vacances

Ni les jours fériés

Il préfère

Les caresses

Des petites mains d’écoliers.

Chantal Couliou

 

15 commentaires sur “Plus de cent ans”

  1. J’imagine le plaisir des oiseaux de s’y loger ou s’y percher, que du bonheur!!! Il est tellement beau cet arbre! Merci ma chère Denise pour cette magnifique photo et poème! Bisous tout doux et bon mercredi!

  2. L’arbre trace avec ses ramures des chemins de contemplation au travers de la nature verdoyante. C’est beau 😉

  3. superbe : force et fraîcheur, un régal !
    J’aime bien le petit poème. Il y a souvent des marronniers dans les cours d’école, pour le plus grand plaisir des enfants… et des plus grands.
    merci pour le lien, cela donne vraiment envie de se balader …
    Gros bisous Denise et bonne journée bien ensoleillée !

  4. Il est bien beau !

  5. Einen schönen Tag ich liebe alte Bäume schön aufgenommen.Grüße von mir und alles Liebe.Freundschaft.Gislinde

  6. ..il occupe tout l’espace ce beau marronnier plus que centenaire.. merci pour la photo et les mots qui l’habillent..
    Une belle journée je te souhaite, Denise
    Den

  7. Un coin de verdure…comme nous aimerions garder.beau sujet!

  8. mon commentaire refusé …ici c’est comme chez les cafards 🙂 chlorophylle à l’honneur, vert « menthe à l’eau » !
    Bisous du soir.

  9. MON PORTRAIT
    Je suis de bois, mes mains et mon visage.
    De bois ej suis, oui, de dur coeur de chêne,
    Oeuvre gauche d’un sculpteur malhabile
    Mais les forêts frémissent dans mon coeur.

    Je suis léger jusqu’au bout de mes branches,
    Mal équarri du torse et lourd de tronc.
    Mais des oiseaux y peuplent mes dimanches,
    Les vents y font virer leurs escadrons.

    Arbre perdu dans les futaies humaines
    Où la cognée bat parfois sourdement,
    Arbre pleurant ses lyres incertaines,
    Arbre immobile en la forêt dormant,

    Ecartelé d’incessantes tempêtes,
    Indifférent au souffle chaud des bêtes,
    Aveugle et sourd aux sources dans la mousse,
    Déjà prêt pour sa chute ténébreuse,
    Déjà paré pour son éternité.
    Maurice Fombeure

  10. Un vrai monument naturel !!
    J’adore les vieux arbres ! Tu as joliment photographié sa belle couronne !
    @ Bientôt Denise !
    Bisous

  11. […] respirer : Le bel apprentissage – Plus de cent ans – Chlorophylle et Cie – De bien jolies couleurs – Promenade urbaine – Nos […]

  12. questi grandi alberi oltre che offrirci ombra e bellezza sono qui a ricordarci la saggezza della natura e il grande rispetto che loro si deve
    l’immagine è davvero maestosa
    buonanotte amica

  13. il impose le respect !

  14. Quelle est douce cette poésie en hommage à ce bel arbre !


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